Rendez-vous très intéressant avec V. Nous avons médité une 15aine de minutes sur ONG NAMO pour recevoir une guidance et nous reconnecter à nous-même. Puis nous avons respiré.
Comment dépasser la colère ?
La colère est nécessaire. Aimez votre colère. Elle permet de mettre les limites. Nous avons choisi de nous incarner en cette période de grands changements. Quelques uns sont des éclaireurs. Ces éclaireurs ont pour mission de déprogrammer pour créer un espace où proposer de nouvelles façons de fonctionner. Ta colère permet la déprogrammation. Elle t ‘enseigne sur des limites que tu as atteint et que tu ne supportes plus. Elle te permet de créer un espace où les formes d’autorité n’ont plus de prise sur toi. Petit à petit tu déprogrammes toute forme de pouvoir ou d’autorité extérieure qui t’imposerait une façon de fonctionner qui ne te corresponde pas ou qui te ferait adhérer à quelque chose dans lequel tu ne te respecterais pas. «Oui mais alors… il y a risque de toute puissance, de me mettre en colère à tout bout de champ pour un oui ou pour un non, de quel droit ?…» Aime ta colère et va plus loin, plus profond dans l’exploration de ton cœur. Maintenant que tu as créé de l’espace, quel est ton vrai besoin ? «Je me rends compte que je ne connais pas mes réels besoins. Je me rends compte que je suis disponible, je suis une personne disponible et j’ai du temps ; je cherche comment placer ma disponibilité à droite et à gauche pour trouver ma créativité, pour la développer, pour être créative. »
En faisant cela tu te mets à la disposition des autres ou de circonstances extérieures, tu ne t’autorises pas à être créative pour toi même, tu ne t’autorise pas à prendre ton propre espace, tu ne respectes pas tes vrais besoins d’où la colère.
Cela fait des millénaires que nous sommes programmés par la religion, la politique etc… Déprogramme toute forme d’autorité pour trouver ton propre espace dans lequel réaliser les réels besoins de ton âme.
J’ai déjà déprogrammé beaucoup. En ce moment je déprogramme le poids des institutions financières et sociales qui me maintiennent dans la peur du manque et m’empêchent d’accéder à mes réels besoins créatifs, en me maintenant sur la brèche à chercher comment combler le manque. J’ai pris conscience il y a peu, que mon réel besoin actuel était d’écrire. Cela fait du bien à mon âme, cela me nourrit et me donne la sensation de réaliser ce que je dois faire. Le tout est de prendre le risque de le faire malgré l’apparente inutilité de cet acte, malgré les factures impayées qui s’accumulent et la pression toujours plus forte des institutions qui réclament leur dû. Un acte de foi.
En résumé, je m’autorise à prendre cet espace et à laisser dehors, ne pas m’identifier, ne pas m’attacher à toute forme d’autorité qui aurait de l’emprise sur moi et m’empêcherait d’être dans cet espace et dans la RÉALISATION DE MES BESOINS RÉELS. Quels sont-ils ? Là est tout l’apprentissage d’écoute.
Force est de constater que le travail fourni ne suffit plus à vivre honnêtement. Le manque d’argent se fait sentir. Comment faire pour survivre ? En réalité le travail fourni n’est pas fait de la bonne façon. La plupart des gens n’aiment pas leur travail, ou font un travail simplement pour gagner leur vie sans s’épanouir, la plupart des gens sont stressés par leurs conditions de vie.
L’INTENTION sous jacente aux actes n’est pas juste. L’argent est une énergie, une circulation d’énergie créative. Ce n’est pas l’argent qui est à remettre en cause c’est l’intention qu’il y a derrière. Les temps changent et nous devons changer de paradigme. Me mettre au travail et trouver un travail juste pour gagner de l’argent ne fonctionnera plus si je reste tributaire d’une autorité extérieure qui a pouvoir sur moi.
J’ai de plus en plus la pensée qu’au même titre que mon âme a choisi de se mettre dans la situation qui a été celle qu’elle a été, peut être a t’elle choisi de se mettre dans cette situation actuelle de difficulté financière. Je pense de plus en plus qu’une solution est à trouver et qu’elle se situe dans mes profondeurs.
Les choses qui m’épanouissent ne s’inscrivent plus dans une continuité comme avant.
Respecter mes réels besoins, aller à leur rencontre plutôt que de trouver une activité dans l’esprit de gagner de l’argent.
Cette intention là n’est pas la bonne et me maintient dans la peur du manque alors que faire ce dont j’ai réellement besoin, qui ne correspond d’ailleurs pas forcément au 1ier abord à ce qu’il me semble aimer, alors je renforce mon rayonnement, alors je renforce ma présence JE SUIS, alors mon incarnation prend du poids.
Et maintenant que j’ai écrit, je mets en ligne !
Cet échange fut vraiment nourrissant. V. a commencé à être élève. Simplement et avec engagement elle obéissait à mes directives, qui, soit dit en passant, ne sont pas MES directives. Puis elle prit de l’assurance et nos échanges devinrent plus créatifs. De passive, à recevoir un enseignement comme une bonne élève, et c’est une étape nécessaire, elle commença à devenir plus co-créatrice.
Elle put reconnaître sa richesse, prendre sa responsabilité et commencer à partager, à échanger. J’émis alors le souhait ou la constatation, je ne sais pas vraiment, que notre travail était productif et pouvait servir un plus grand nombre, il serait intéressant de continuer à travailler ensemble.
L’entretien d’aujourd’hui commença par une question qu’elle me posa «Comment j’allais et comment s’était passée ma fin d’année.» Je me retrouvai à lui parler de moi. Les rôles étaient inversés ? Puis ce fut mon tour de la faire parler. Et nous trouvâmes que bien qu’à des niveaux différents, nous étions dans le même questionnement. Il n’y a pas de hasard n’est ce pas ?
Pendant notre méditation je me suis dit que je ne me voyais pas lui demander les 50 euros pour la séance. Je trouvais qu’on créait à part égale. J’entendis de lui demander 25 euros mais je ne fis rien et ne dis rien. L’entretien se poursuivit avec toute sa richesse. Et tout naturellement alors que moi je n’y pensais plus du tout elle me parla de sa difficulté à continuer à payer 50 euros par semaine. Soit nous ralentissions le rythme des séances soit nous trouvions un autre accord. Je lui partageai alors que j’avais du mal à lui demander de l’argent parce que je considérais que nous travaillions à part égale. Elle me dit que oui peut être mais qu’elle sentait que par mon expérience d’écoute que je mettais au service de l’entretien, elle se sentait suivie et encadrée. Je réalisai que j’avais entendu 25 euros et que je n’avais rien dit, je n’avais pas obéi ! Que le chiffre que j’avais entendu était parfaitement juste et pour elle et pour moi. Dorénavant je respecterai plus attentivement les directives des guides ! C’est ma petite personne qui a interprété la situation. Je n’ai pas osé vraiment écouter. Les guides ou ma conscience supérieure font les choses à la perfection. Même si je n’ai pas toutes les ficelles, je vais m’atteler à obéir plus en faisant confiance.
Fière de toute cette richesse je décidai d’aller prendre ma douche. Me vint alors de tout écrire et de le mettre en ligne. Ainsi d’autres personnes pourraient être touchées et l’énergie de cet enseignement peut continuer à circuler. Allez je prends le risque, via, tout en ligne!